Les restaurateurs ambitionnaient également l’installation d’un double plafond. Dans les GMS, les salariés ne pourraient dépenser que dix euros maximum par jour en titre-restaurant contre 25 euros dans les autres commerces. Une proposition qui n’a pas été retenue au nom du pouvoir d’achat. « Nous ne comprenons pas cet argument, confie Romain Girard. Quand vous avez dix euros, que vous le dépensiez dans la GMS ou dans un restaurant, vous avez toujours dix euros ». Pour les restaurateurs, ce plafond permettait pourtant de
coller au prix d’un repas dans les supermarchés, autour 2 à 3 euros estiment-ils.
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